Le 3 avril 1990 à édinbourg mourait Emile Paul Albert GUY. Une histoire qui s'est achevée sereinnement, mais qui à commencée dans le tumulte des nations, à l'époque le front populaire commencé à pointer le bout de son nez, et la guerre de 18, la der des der, venez de se conclure par une victoire française et une mise à genoux du grand méchant allemand, c'était en 1920, à Rosendaël, l'actuelle dunkerke, le fameux carnaval qui est totalement génial, m'enfin, revenons. C'était le 23 septembre 1920 qu'une famille de fonctionnaire, comptant 3 enfant à l'époque, acceuillait pour noël un mignon petit enfant, Emile GUY. Plus grand il se consacrait au cyclisme, une grande passion avec la mer, et oui, il était aussi navigateur au commerce, mais la guerre arriva, et nous voilà, en 1939, à 19 ans, il partit en angletterre et navigua sur des cargos, notamment le SAHEL de Rouen. Il eu sûrement envie de retrouver sa famille, le vent du nord, le carnaval, lorsque en 1944 il s'engagea dans les fusiliers-marins, il passa ses tests, et rejoigna le commando Kieffer. Fameux commendo qui l'amena le 6 juin 1944, avec d'autres et Phillipe Kieffer à leurs tête à débarquer sur la plage de Collevile-sur-Orne. C'est avec ces même hommes qu'il combatit à Ouistreham, Pegasus Bridge, Amfreville, Bavent et son bois, le passage de la Dive et l’Epine. Je vous l'assures, il en avait. C'est sûrement ces combats acharnés qu'il perdit son béret vert, même que je voudrais particulièrement je le rappele je suis cadet. C'est les soldats Canadiens qui lui prêteront l'un des bérets qu'ils avaient, c'est pourquoi son béret porte une feuille d'érable sur cette photo, mais après les combats il retrouva bien vite un magnifique symbole du commando Kieffer. Ils avaient le sens de l'unité et de l'imprenabilité. Mais les combats n'étaient pas finis pour notre brave Guy, car la même année il partie à Flessingue sur l'île de Walcheren aux Pays-Bas. Il y fut gravement blessé par un obus, saleté de shrapnel. À la prise de l'île par les alliés il fut soigné en angletterre. Il retrouva sa famille après la guerre, ses parents, ses soeurs et ses frères. Il leur présenta une "anglaise" disaient-ils. Notre héro l'aimait, c'est pourquoi ils se marirent à Dunkerke, il partit avec son écosaise en écosse donc, et ils montairent une affaire, un restorant, puis un deuxième, il y avait un bar, ça doit être pour ça. Il vécu heureux avec sa famille, et il revint à Dunkerke un peu après le 3 avril 1990, et il y rejoigna ses proches, notamment ses parents partis plus tôt. C'est avec une citation et quelques médailles que l'un de la K-GUN, badge 187, l'un de nos braves 177 partie, c'était un de ceux à qui, encore aujourd'hui nous devons dire merci pour ne pas dire scheisse.