Issu d'une vieille famille bretonne, Alain de Penfentenyo est le dixième d'une famille de quatorze enfants. Il est le fils du vice-amiral d'escadre Hervé de Penfentenyo qui défendit Lorient les armes à la main en juin 1940.
Alain de Penfentenyo entre à l'École Navale en 1939.
En septembre 1940, après une promotion au grade d’enseigne de vaisseau de 2e classe, il est affecté sur l’aviso La-Boudeuse, puis, le 1er septembre 1941, sur le croiseur léger Le-Terrible jusqu’en novembre 1943. Pendant six mois, il est instructeur au Centre Siroco des fusiliers marins, situé au Cap Matifou, à une vingtaine de kilomètres d’Alger, puis est nommé officier en second sur l’escorteur tirailleur.
Il demande, en 1945, à rejoindre les Forces maritimes d’Extrême-Orient. Le 3 janvier 1946, il est affecté à la Flottille fluviale d’Extrême-Orient.
Mais le 12 février 1946, il est mortellement touché lors d’une opération de nettoyage d’îlots de résistance Vietminh sur le fleuve Dong Nai, en Indochine française. Il est enterré au cimetière français de Saïgon aujourd'hui détruit.
L'EV Alain de Penfentenyo est le troisième de sa fratrie à mourir au feu, après François (mort au combat le 23 mai 1940) et Tanguy (mort au combat le 8 mars 1945).
Un commando marine, créé en 1947, a été nommé en son honneur, le Commando de Penfentenyo.
Se sera le commando de "reconnaissance"
Source : Wikipedia
Alain de Penfentenyo entre à l'École Navale en 1939.
En septembre 1940, après une promotion au grade d’enseigne de vaisseau de 2e classe, il est affecté sur l’aviso La-Boudeuse, puis, le 1er septembre 1941, sur le croiseur léger Le-Terrible jusqu’en novembre 1943. Pendant six mois, il est instructeur au Centre Siroco des fusiliers marins, situé au Cap Matifou, à une vingtaine de kilomètres d’Alger, puis est nommé officier en second sur l’escorteur tirailleur.
Il demande, en 1945, à rejoindre les Forces maritimes d’Extrême-Orient. Le 3 janvier 1946, il est affecté à la Flottille fluviale d’Extrême-Orient.
Mais le 12 février 1946, il est mortellement touché lors d’une opération de nettoyage d’îlots de résistance Vietminh sur le fleuve Dong Nai, en Indochine française. Il est enterré au cimetière français de Saïgon aujourd'hui détruit.
L'EV Alain de Penfentenyo est le troisième de sa fratrie à mourir au feu, après François (mort au combat le 23 mai 1940) et Tanguy (mort au combat le 8 mars 1945).
Un commando marine, créé en 1947, a été nommé en son honneur, le Commando de Penfentenyo.
Se sera le commando de "reconnaissance"
Source : Wikipedia